Recherche de travail au Sénégal : le meilleur moyen de s’intégrer
Après avoir fait le tour des principaux restaurants de Dakar, je ne réussirais pas à vivre de ma musique. Quelques amis musiciens m’ont pourtant aidé à jouer dans des restaurants mais après 30 minutes de musique je recevrai au mieux une bière ou quelques centaines de francs, soit 1 ou 2 euros. Pourtant, les clients du restaurants ne faisaient pas parti des moins riches du Sénégal. Cependant, tous s’imaginent qu’un blanc naît avec de l’argent et qu’il n’a pas besoin de plus, ou peut-être qu’ils n’aiment tout simplement pas ma musique.
Si je cherche un travail au Sénégal, ce n’est pas parce-que je n’ai plus d’argent mais parce-que je souhaite m’intégrer à la vie du pays et ne pas être un touriste auquel on court après en demandant de l’argent ou pour se marier avec une fille afin d’ aller vivre en Europe : l’Eldorado selon de nombreux Sénégalais. En travaillant au Sénégal, je veux donc montrer au Sénégalais que l’économie de leur pays n’est pas si mauvaise que ça, qu’il y a du travail.
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L’arrivée a Dakar
Après quelques minutes d’avion entre le Cap Vert et le Sénégal, j’arrive à Dakar, une des plus grandes villes de l’Afrique de l’Ouest.
Avant de récupérer mon visa, le douanier tentera de me prendre 10 euros. Mon accordéon me sera de nouveau très utile pour éviter la corruption. « Désolé je n’ai même pas 10 euros mais j’espère trouver un restaurant rapidement pour pouvoir jouer un peu de musique et prendre le petit-déjeuner ». A la sortie de l’aéroport, un bus à 0.3 euros me permettra de rejoindre mon Couchsurfer. Depuis près de 4 ans, je peux de nouveau communiquer en français et les Dakarois sont ravis de pouvoir m’aider à trouver mon adresse. Malgré le désordre apparent, la gentillesse de Sénégalais me rendra mon arrivée relativement facile.
Discuter avec les locaux est très simples car beaucoup ne font rien de leur journée. Les Sénégalais rencontrés parlent un très bon français et pourtant beaucoup sont sans emplois. Deux questions me viennent à l’esprit :
- Pourquoi tant de sans emploi dans un pays ou tout semble à être développé ?
- Comment font-t-ils pour vivre tout en ayant autant d’enfants ?
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Publié par Froggy | Classé dans Bon plan, humanitaire | Publié le 18-02-2012
Comment voyager comme nous ? transport, logement, humanitaire et sponsor, « climat, equipement, administratif » , « anglais, blog, budget » , « santé,divers » , 40 conseils pour voyager 40 ans
INTRO
Cet article intéressera sans doute certainement tous ceux qui veulent voyager tout en ayant un projet humanitaire ou écologique.
Cependant, en lisant parfois les informations françaises depuis l’Australie, je me dis que finalement les français semblent être les plus a plaindre. C’est donc peut-être en France que l’on doit avoir un projet humanitaire…
Au Népal, au Laos ou en Papouasie, les gens sont de loin beaucoup plus pauvres. Mais ils ne dépriment pas en voyant les entreprises quitter le pays, le pouvoir d’achat diminuer et le temps de cotisation de retraites s’allonger. En effet, il y a peu de très grandes entreprises et doucement leur nombre commence à croitre. Il n’y a pas de SMIC et beaucoup possedent leur propre business. Ils fixent donc les prix en fonction du cout des achats. Quant a la retraite ca ne les inquiète pas tant qu’ils ont des enfants pour s’occuper d’eux.
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Publié par Froggy | Classé dans Article-vidéo, Asie, humanitaire | Publié le 19-10-2011
Publié par Froggy | Classé dans Article-photos, Asie, humanitaire | Publié le 03-07-2011
Nous voilà pour la 2eme fois de notre voyage en Thaïlande. Cette fois nous arrivons par la route depuis le Laos et nous prenons la direction de Khon Kaen, la ville où l’on est censé passer nos 10 prochains jours dans un centre de méditation « Vipassana ». Vipassana est le nom de la technique de méditation du Bouddha, qu’il a utilisé avec succès il y a 2500 ans en Inde (à Bodhgaya).
Nous nous étions inscrit par internet quelques jours avant et nous avions même eu une confirmation (pour passer les 10 jours dans le centre) mais malheureusement nous venons de recevoir un nouvel e-mail nous disant que c’est complet pour la prochaine session et qu’il n’y a pas de place pour nous. Nous avions aussi demandé dans un autre centre à Chang Mai (dans le nord de la Thaïlande) qui nous a aussi répondu qu’il était complet. (Et nous avions déjà tenté notre chance à Bodhgaya, en Inde, mais là le centre était fermé pour cause de vacances…).
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Publié par Froggy | Classé dans Asie, humanitaire | Publié le 17-06-2011
Au menu de cette article, réflexion sur notre mode de vie, première expérience HelpX et rencontre avec les petits laotiens.
De la frontière Panghok à Oudomxai
Après une dernière session d’autostop assez réussi, nous voilà à la frontière de notre 23ème pays : le Laos.
Nous donnons 32$ aux douaniers et quelques minutes plus tard, nous sommes en possession de notre sésame pour pouvoir visiter cette ex-colonie française.
Nous souhaitions reprendre le stop mais le poste frontière de Panghok près de Dien Bien Phu est loin d’être très fréquenté. Nous irons donc boire une bière au bar du coin en compagnie des douaniers et du médecin qui était censé vérifier que nous n’avions pas la grippe H1N1. Ils nous offrirons un peu de LaoLao, un alcool fort à base de riz, un bon moyen d’éliminer un éventuel virus.
Après quelques heures dans le bar, un seul camion passera la frontière mais il nous demandait de l’argent. Finalement nous déciderons de dormir dans un petit abri pour attendre le bus.
Le lendemain matin, le bus ne passera pas et nous verrons arriver 10 voyageurs venant de Dien Bien Phu en stop payant. Nous aurons la chance de repartir avec eux en profitant de leur pick-up (et en payant notre part) pour nous emmener jusqu’à la prochaine ville à plusieurs heures de route.
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Publié par Froggy | Classé dans Asie, humanitaire | Publié le 23-04-2011
Notre tour du monde des écoles se poursuit et nous voici à l’école française de Kep au Cambodge.
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Au cours de ce tour du monde, nous voulons offrir notre temps pour aider les associations. Cependant, pour être bénévole, il faut souvent payer des frais de participation beaucoup trop élevés pour notre budget.
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Seules les petites associations où tout est géré bénévolement accueillent avec plaisir des bénévoles pendant quelques semaines ou quelques mois.
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Pour découvrir les petites associations telle que l’Ecole de Français à Kep, nous lisons les aventures d’autres voyageurs responsables à petit budget. Ainsi, grâce au blog de
Romain et Marie, un couple ayant voyagé en Europe et en Asie d’une façon très proche de la notre, nous avons pu découvrir l’école. Leur article étant toujours bien écrit, nous nous sommes inspirés du
leur pour présenter notre séjour à l’Ecole de Français à Kep.
Publié par Froggy | Classé dans Asie, humanitaire | Publié le 30-03-2011
Après avoir rencontré des enfants au Népal, en Inde, nous voici en Thaïlande où nous allons rencontrer des petits français vivant à l’étranger.
L’aide du directeur Pascal et de l’institutrice Marie nous permettra de partager notre aventure avec les classes de CP, CE1 et CM2 de l’école française de Bangkok.
La classe de CE1, nous connait déjà un peu puisque Marie leur a donné des recherches à faire sur notre blog.
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Publié par Froggy | Classé dans Asie, Bon plan, humanitaire | Publié le 18-03-2011
Depuis Bangkok, je vais essayer de vous retranscrire notre quotidien pendant 3 semaines à Calcutta, l’ancienne capitale indienne. Un quotidien totalement différent de celui de la capitale thaïlandaise mais qui restera une des grandes expériences de ce début de voyage.
En arrivant en Inde, nous nous sommes aperçus que nous étions dans un pays où la misère est très visible. Plusieurs fois par jour, nous croisions des enfants réclamant de l’argent pour manger, ou des handicapés qui mendiaient pour pouvoir survivre. Nous n’avions encore jamais vu un pays où la dignité humaine était autant bafouée.
Nous ne sommes pas les premiers à observer cette misère.
En 1946, Mère Térésa a eu envie de quitter le confort de son couvent pour aller dans les bidonvilles de Calcutta aider les plus pauvres des pauvres. En eux, elle voyait Jésus, le fils de Dieu. Depuis Mère Térésa à ouvert plus de 600 maisons à travers le monde. Les volontaires sont les bienvenus pour aider les centres accueillant les enfants malades, handicapés, et les personnes mourantes, ainsi que certains enfants des rues pour leur offrir un repas.
Nous avons donc décidé d’aller à Calcutta pour aider l’association de Mère Térésa pendant 2 semaines.
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Publié par Froggy | Classé dans Asie, humanitaire | Publié le 09-02-2011
Après quelques jours d’autostop, nous avons décidé de rester une dizaine de jours à Bodhgaya, une petite ville de 30 000 habitants. Bodhgaya est la ville où Bouddha a atteind l’ « illumination » il y a 2500 ans après avoir médité 6 ans sans manger dans une grotte située à une dizaine de kilomètres.
Aujourd’hui, il y a des dizaines d’hôtels dans la ville et nous remercions notre chauffeur de rickshaw ainsi que Dada de nous avoir hébergé en échange d’une donation. Boddgaya étant une ville touristique, les prix sont relativement élevés pour l’Inde.
A Bodhgaya, il est possible de visiter plus d’une dizaine de magnifiques temples bouddhistes. De nombreux pays ont leur propre temple : Bhoutan, Thailande, Chine, Tibet, Vietnam, Thailande, Japon…
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Après près de 3 semaines passées dans la campagne népalaise, sans écrire d’article, nous sommes de retour !
Il est assez dur de résumer ce que nous avons vécu. Nous pourrions écrire des dizaines de pages.
Depuis le début de notre tour du monde, nous souhaitons aller à la rencontre des populations locales, nous éloigner des lieux touristiques et également rencontrer les enfants pour partager avec eux notre chance de voyager.
En plus de 6 mois de voyage, nous n’avons malheureusement pas eu beaucoup de temps pour rencontrer des enfants. Nous avons donc décidé de profiter d’une opportunité pour passer 15 jours dans un village au Népal afin d’aider l’association « Culture Népal » et partager notre temps avec les enfants tout en découvrant la vie au Népal.
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